故乡
地区:大陆
  类型:偶像
  时间:2025-05-02 04:11:51
剧情简介

该片讲述了普通女高中生日奈奈认识了来学校拍摄电影的男明星绫濑枫,故乡两人发展出一段“灰姑娘”式的爱情的故事。

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明星主演
刘科
黄大炜
宇桐非
最新评论(549+)

痛苦的信仰

发表于6分钟前

回复 :一场意外中,女孩金兰(孟霞 饰)救下了军阀周士钊(马子俊 饰),由此认识了他的副官胡凯(刘立 饰),英俊帅气的胡凯一下子就吸引了金兰的注意,令这位纯情少女坠入了情网之中。阮应(朱一龙 饰)原本是要暗杀周士钊的刺客,却因为金兰的横插一脚导致任务失败,不仅如此,他还吃了金兰一棍子,失去了记忆。金兰不知道该拿失忆的阮应怎么办,只能先让他住进自己家里,准备之后找个机会将他杀死为民除害,哪知道尝试了好几次均已失败告终。在此过程中,阮应渐渐的喜欢上了这个单纯善良的女孩,殊不知令一个名叫周小惠(何杜娟 饰)的女孩亦对自己芳心暗许。


杨光

发表于5分钟前

回复 :这部《雄霸天下》的故事紧接《岁月风云》展开。陆云生(吕良伟 饰)场面做大,他为人重情义不计开销导致入不敷出,遂计划涉足银行业,岂料上海各银行家集体抗拒。陆请动古羽(苗侨伟 饰)协助,终令银行家们低头服输……1937年,政府推行“新生活”运动,陆云生放弃鸦片生意带头戒毒,结果险些丧命,不久卢沟桥事变爆发,陆云生为支持抗战捐赠战机,却仍没有挽回上海沦陷的结局,是役更导致他众多门生身亡。陆云生为躲避日本人暂居香港,期间黄金荣(郑则仕 饰)留沪装傻;袁肃军(徐锦江 饰)投靠日军成为汉奸,陆云生只得派出阿山(汤镇业 饰)刺袁。抗战终于胜利,陆云生有望成为上海市长,让他颇感欣慰,但冷酷的现实是他已失去利用价值,一代枭雄在不属于他的时代渐入穷途……


黑泽薰

发表于7分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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